dimanche 31 août 2014

La beauté du sacerdoce passe par notre vocation à la sainteté.

Il s'est tenue une retraite sacerdotale des prêtres du lundi 18 au vendredi 22 Août à la maison de retraites de Kimbondo.
La maison Banti à Kimbondo
Pendant cinq jours, l'abbé freddy Ngandu de l'Opus Dei a accompagné les abbés de Tshumbe, Popokabaka et Kinshasa. 
Tout en rappelant l'importance d'une retraite sacerdotale pour un prêtre, le prédicateur a aidé les abbés à méditer sur leur ministère. « Nous sommes enfants de Dieu, mis à part pour le sacerdoce » a t-il insisté. La beauté du sacerdoce passe par notre vocation à la sainteté. D'où, le prêtre doit chercher avant tout à se sanctifier en sanctifiant les autres dans la vie authentique de l'enfant de Dieu. L'identité du chrétien, fils de Dieu, amène à combattre le péché et à chercher à imiter le Christ notre modèle qui ne faisait que le bien partout il passait.
Tout au long de ces jours de profonde intimité avec Dieu, des causeries ont été proposées pour amener les retraitants à entretenir leur vie de pasteur en communion avec l'évêque pour la mission reçue du Christ : "Allez dans le monde entier.....(Mtt 28, 19).
Les prêtres envoyés à cette mission, doivent fraternellement vivre l'unité qui est l'indice de crédibilité de leur mission, a renchérit  le prédicateur en s'appuyant sur la prière sacerdotale de Jésus : "Que tous soient un comme toi, Père, tu es en moi et que je suis en toi, qu'ils soient en nous eux aussi, afin que le monde croie que tu m'as envoyé"(Jn 17, 21).
De Gauche vers la droite, les abbés : Freddy, Pérenne, Cyrille, Michaël, Placide, Zéphyrin et Adrien.
Les abbés Placide Lufukola et Michaël de Tshumbe, Cyrille Ikomba et Zéphyrin Malembe de Popokabaka, Pérenne Musimu de Kinshasa et Adrien Kabu se sont dit édifiés des enseignements de l'abbé Freddy Ngandu  leur prédicateur. CIM



samedi 30 août 2014

Merci à vous tous qui êtes abonnés à notre blog. Vos commentaires nous aideront à mieux améliorer. De tout coeur, Cyrille.
Le point de vue de l’abbé Cyrille Ikomba sur le magazine de Caritas Congo « Lève-toi et marche », lire  en cliquant le lien suivant : http://caritasdev.cd/fr/index.php?option=com_content&view=article&id=1776:le-magazine-de-caritas-congo-l-leve-toi-et-marche-r-outil-de-relations-publiques-de-celle-ci-selon-un-travail-de-fin-de-cycle&catid=25&Itemid=48

vendredi 15 août 2014

Les avantages d'une école non mixte

Les avantages de l'école non mixte
Un point de vue  de Rosemary Salomone. Rosemary Salomone, Professeur de Droit Constitutionnel de l’Université St. Johns de New-York et féministe déclarée aux Etats Unis d’Amérique. Elle défend l’enseignement séparé pour garçons et filles. Déjà en 2002, elle soutenait, dans une interview accordée au quotidien espagnol « El Correo » que les écoles non mixtes favorisent la capacité de leadership des filles. 

Lire l’intégralité de l’interview sur 
http://fr.didoc.be/index.php?view=article&catid=23:societe&id=160:les-avantages-de-lecole-non-mixte&tmpl=component&print=1&layout=default&page=&option=com_content&Itemid=57

SELON UNE RECHERCHE DE FIN D’ETUDES DE CYRILLE IKOMBA, la Radio rurale N’temo excelle dans l’évangélisation

«La Radio Rurale N’temo et l’évangélisation dans le diocèse de Popokabaka», c’est l’intitulé du travail réalisé et défendu le 28 juillet 2014 par  Cyrille Ikomba Mankelelemambi. 


Page de garde du mémoire de Ikomba
Sanctionné par une plus grande distinction, cette œuvre scientifique a marqué la fin du deuxième cycle à l’institut Facultaire des Sciences de l’Information et de la Communication. La Radio N’temo étant à vocation communautaire, le récipiendaire a cherché à savoir quelle est la place de l’évangélisation dans la grille des programmes de ladite Radio. Devant une foule intéressée, l’abbé Ikomba a démontré que  la programmation d’une radio alternative repose sur les thèmes de préoccupation de l’instance propriétaire.
«Nous avons défendu notre mémoire de licence en Sciences de l’Information et de la Communication intitulé : La Radio Rurale N’temo et l’évangélisation dans le diocèse de Popokabaka. Ce travail a porté sur la grille des programmes de la Radio Rurale N’temo. Nous avons voulu chercher à savoir quelle est la place de l’évangélisation dans la grille des programmes de la Radio N’temo», a expliqué l’abbé Cyrille Ikomba à la fin de sa défense.
Cyrille Ikomba, défendant son mémoire.
L’hypothèse émise stipulant que la programmation d’une radio alternative repose sur les thèmes de préoccupation de l’instance propriétaire, l’abbé Ikomba a usé de la méthode herméneutique appuyée par les techniques d’analyse de contenu, d’entretien ainsi que de la technique documentaire. Dans cette recherche, le récipiendaire a fait recours à quatre théories : la théorie de la communication alternative, la théorie de la programmation, la théorie d’orientation de contenu des médias d’A. Moles et la théorie contractuelle de G. Lochard et J. Cl. Soulages. «Nous avons démontré que la théorie de la communication alternative justifie cette radio comme support d’expression de ceux qui sont en marge des organes étatiques et a un objectif particulier, celui de travailler à la conscientisation de la population pour un changement social», a-t-il soutenu. Et d’ajouter : «Mais sur terrain, cette radio est aussi au service de l’évangélisation. C’est à cet effet que les autres théories à savoir la programmation, l’orientation de contenu des médias et la contractualisation, nous ont aidé à relever la contribution et la participation de cette radio à l’évangélisation de son public».
Après analyse, l’abbé Cyrille Ikomba a abouti aux résultats selon lesquels l’évangélisation occupe une place de choix dans la programmation de la Radio Rurale N’temo qui n’est pas pourtant confessionnelle. A en croire le chercheur, cela montre à suffisance que  la programmation de la radio rurale N’temo repose sur les thèmes de l’évangélisation qui est la préoccupation de son propriétaire.Ce qui a conduit le récipiendaire à valider son hypothèse de départ.
                                                                                         Olito Kahungu, journaliste à AfricaNews.





mercredi 6 août 2014

Collation des grades académiques à l’IFASIC : Cyrille Ikomba se distingue

Cyrille Ikomba, le doigt à la bouche.

L’Institut Facultaire des Sciences de l’Information et de la Communication, IFASIC en sigle, clôture l’année académique 2013-2014 ce 31 juillet 2014. Les fanfares au rythme d’’alongi naye’ ont fait vibré cette journée mémorable. Le corps scientifique, le  corps académique  et les administratifs, tous  se sont mobilisés pour accueillir les nouveaux produits que cette Alma Mater lance sur le marché d’emploi.  Le recteur de cet Etablissement, Jean-Lucien Kitima, satisfait du travail laborieux des  étudiants finalistes,  a conféré tour à tour les grades aux différents récipiendaires.


Le Recteur J-Lucien Kitima avec les lauréats
Ce 31 juillet, l’ambiance est bon enfant au sein de l’institut facultaire des sciences de l’information et de la communication.  Au rythme des fanfares, Professeurs, Corps scientifiques, Corps administratif, Parents, Etudiants, étaient au rendez-vous afin d’accueillir  les nouveaux diplômés et  clôturer l’année académique 2013-2014. Patriotisme oblige, l’hymne nationale a marqué l’ouverture de cette messe. Le secrétaire générale académique  de l’Institut Facultaire des Sciences de l’Information et de la Communication, le professeur  Emmanuel Mwangilwa, a reconnu  que cette année académique était non seulement marquée par les événements heureux mais aussi  malheureux. «  Certains de nous nous ont quitté, de ce fait, observons  une minute de silence en souvenir des illustres disparus » a signifié le chef de l’enseignement de l’IFASIC.  A cette demande, l’assistance s’est mise debout.   Le professeur Mwangilwa a procédé à la lecture du rapport annuel sur l’état de lieu de cette Institution.  
A son tour, le Recteur de l’Ifasic, Jean-Lucien Kitima qui a toujours prôné la qualité et non la quantité dans la formation, a félicité la minorité valeureuse des lauréats. « Chers étudiants, c’est le fruit d’un grand effort  que vous récoltez en ce jour » a reconnu  le recteur de l’IFASIC. Ce dernier  a conféré  le grade de diplômé d’études approfondies en Sciences de l’Information et de la Communication à quatre doctorants ; aux six finalistes de la cinquième année d’université le grade de licencié en Sciences de l’Information et de la Communication et à un de la troisième celui de gradué en Sciences de l’Information et de la Communication.

Particulièrement, le département de la Communication Sociale, s’est senti honoré par  l’abbé Cyrille Ikomba qui était le seul  à distinguer en première session.  

L'abbé Cyrille Ikomba félicité par le recteur.
Pour Esperant Keke, son camarade, Ikomba est un étudiant modèle qui prend ses études au sérieux. Il a toujours passé de classe avec distinction  malgré ses multiples occupations de prêtre. «Finir ses études avec  septante quatre  pourcents n’est pas une mince affaire. Il faut du courage et  de la détermination» a-t-il ajouté. Avec un sourire vif et un regard rassurant, le lauréat lui-même s’exprime : « Obtenir une distinction n’est pas sorcier, c’est juste le fruit d’une discipline personnelle. Tout le monde le peut, il suffit juste d’être déterminé, d’appliquer la règle de priorité  dans ce que l’on fait et tout ira pour le mieux » a-t-il renchérit.
Bronia  Mundenga, Journaliste Pigiste.